Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volumen4S.A.S, 1748 |
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Términos y frases comunes
abfolument affez affure ainfi ARTICLE auffi Auteur avoient avoit Bradley Burlamaqui c'eft c'eſt Campanie caufe cauſe Charles le Chauve chofe Concile conféquent confidérable connoître critique Debetur déja derniere Dieu Differtation diftingué Dominique Soto Ecrivains efprit eftime Empereurs enfuite équinoxes eſt étoient étoiles étoit Evêque fans fçavant fçavoir fe trouve fecond felon femble fentiment feroit fervir feul fiécle fimple foient foit font fous fouvent François fuccès fuite fuivant fujet fuppofe furtout graces Grégoire VII Hiftoire Hiftorien homme iiij jufqu'à jufte l'Abbé l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Hiftoire laiffe Lanfranc langue Bafque Latins Lettres livre loix Lothaire Louis XV Mahomet matiére ment n'eft n'étoit obfervations occafion ouvrages paffer Pape parle paroît penfer perfonnes perfuader Philofophe plufieurs pofition Pompeïe pouvoit pré préceffion préfente prefque premiere Prince propofe queftion raifon refte Romains Rome s'eft Saint Sylla tems teur Theutberge tion ufage vrage دو رو
Pasajes populares
Página 1889 - Demander dans un État libre des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de République, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Página 1782 - Il ya donc d'abord en moi, connoissance de l'objet & de ses qualitez : ensuite vient le mouvement. Je ne commence point par me mouvoir avant que de connoître ; je connois avant que de me mouvoir. Voilà pour moi-même.
Página 1896 - Rome ? Vous trouverez encore chez moi le javelot que j'avois à Orchomene » & le bouclier que je portai fur les murailles d'Athènes. Parce que je n'ai point de licteurs, en fuis-je moins Sylla ? J'ai pour moi le Sénat , avec la juftice & les loix ; le Sénat a pour lui mon génie , ma fortune, & ma gloire.
Página 1724 - LaifTer les hommes abandonnés à eux-mêmes, c'eft laiffer le champ libre aux paillons , & ouvrir la porte à l'injuftice , à la violence , aux perfidies , aux cruautés. Otez les Loix naturelles & ce lien moral qui entretient la juftice & la bonne foi parmi tout un peuple , & qui établit aufli certains devoirs foit dans les familles , foit dans les autres relations de la vie -, les hommes ne feront plus que des bêtes féroces les uns pour les autres. Plus l'homme eft adroit & habile , plus il...
Página 1725 - ... certains devoirs foit dans les familles , foit dans les autres relations de la vie -, les hommes ne feront plus que des bêtes féroces les uns pour les autres. Plus l'homme eft adroit & habile , plus il fera dangereux pour fes fembiables : PadrefTe fe tournera en rufe , & l'habileté en malice.
Página 2094 - Ils adreflèront leurs Ouvrages , francs de port , à M. Morand , Secrétaire perpétuel de l'Académie Royale de Chirurgie, à Paris , ou les lui feront remettre entre les mains. Toutes perfonnes de quelque qualité & pays qu'elles foient , pourront afpirer au prix -, on n'excepte que les Membres de l'Académie.
Página 1783 - Voilà ce qui fe pane en moi-même. Si je veux faire entendre à un homme autre que moi, qu'il doit fuir, ou rechercher quelque objet ; je commencerai donc par lui montrer cet objet.
Página 1889 - Ce fut uniquement la grandeur de la république qui fit le mal , & qui changea en guerres civiles les tumultes populaires. Il falloit bien qu'il y eût à Rome des divifions ; & ces guerriers fi fiers , fi audacieux , fi terribles au-dehors , ne pouvoient pas être bien modérés au-dedans.
Página 1728 - Loix naturelles font par elles-mêmes praticables, manifeftement utiles , très- conformes aux idées que la droite raifon nous donne de Dieu, convenables à la nature de l'homme, & à fon état, en un mot, parfaitement conformes à l'ordre, & enfin fuffifamment notifiées; il n'ya plus de doute que des Loix revêtues de tous ces caraderes ne foient obligatoires, & ne mettent les hommes dans l'indifpenfable nécefllté d'y conformer leur conduite.
Página 1893 - ... de leur foiblefle : il étoit mal ; il plaça fes craintes & fes efpérances fur la perfonne de Germanicus ; & , cet objet lui étant enlevé , il tomba dans le défefpoir.